L’évolution des caisses enregistreuses

Il y a encore quelques décennies, la caisse enregistreuse classique était la seule option disponible pour traiter les ventes dans une entreprise. Les premières caisses enregistreuses ne « connaissaient » même pas le prix des produits. Le responsable devait saisir les informations manuellement, souvent à l’aide d’étiquettes placées sur les produits à vendre.

De cette façon, l’argent était reçu du client, mis dans la caisse enregistreuse, et un reçu était remis au client. Dans certains cas, la seule trace de la transaction était la copie papier du reçu.

Au fur et à mesure de leur évolution, les caisses enregistreuses sont devenues plus automatisées et ont commencé à stocker une base de données des produits du détaillant.

Et aujourd’hui ?

Aujourd’hui, avec l’avènement des scanners de codes-barres, les propriétaires de magasins peuvent stocker électroniquement les détails des transactions à la volée.

Les systèmes d’aujourd’hui sont beaucoup plus sophistiqués. Si certaines entreprises utilisent encore les anciens systèmes, beaucoup commencent à préférer les systèmes avancés, basés sur le cloud computing, où les données sont stockées en ligne. Ou plus simplement sur un serveur local. Outre les données, l’intérêt avec les nouvelles technologies reste de gagner un maximum de temps à la fois pour le bénéfice du client et le vôtre. L’arrivée du tactile et des interfaces intuitives s’est d’abord faite au niveau des smartphones et des ordinateurs. Puis petit à petit dans le domaine professionnel. Les caisses enregistreuses ne sont pas en reste. Aujourd’hui, des sociétés comme Toporder proposent des machines tactiles adaptées aussi bien pour les restaurateurs, que les épiciers, boulangers ou encore fromagers.

De plus en plus faciles à prendre en main, elles facilitent aussi la formation des nouveaux employés puisque chaque fonction est affichée avec des couleurs. Et leurs logiciels sont de plus en plus complets puisqu’ils réalisent désormais la gestion des stocks, etc.